• Les Pyrénées de Bernard.

    Les Pyrénées, il y a longtemps que j'en rêvais mais je n'avais jusqu'alors pas pu m'y rendre pour différentes raisons.

    Je décide d'effectuer les cols les plus mythiques empruntés par le Tour de France et ceux où des évènements sportifs ou dramatiques s'y sont passés.

    Cette année tous les feux étant au vert, c'est le samedi 26 Juin que je rejoins la commune de Sengouagnet avec Martine, à 3 kms d'Aspet dans le département de la Haute Garonne.

    De ce point de chute, je pus lors d'une première sortie, le 27 Juin gravir le Col de Menté (où Luis Ocana perdit le Tour de France en 1971 à cause d'une chute),

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    le Col du Portet d'Aspet (où Fabio Casartelli se tua dans la descente en 1995)

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    et enfin le Col de Buret. 

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    Le lendemain 28 Juin, après un déplacement en véhicule à Bagnères de Luchon, je gravis le Col de Peyresourde par un temps bien agréable. L'après midi fut consacrée à la visite de cette ville très connue pour ses thermes

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    A l'issue de ces 2 premiers jours, nous nous déplaçons à Cadéac, situé à 2 kms d'Arreau dans les Hautes Pyrénées. Le 30 Juin, j'effectue la montée du Col de Portet (2215 m) qui fut une arrivée en altitude du Tour de France en 2018 et de cette année. A la descente je bifurque 8 kms plus bas vers le Col de Pla D'Adet qui fut en 1974 la dernière victoire de Raymond Poulidor dans le Tour de France

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    A mon retour de cette sortie arrivèrent deux heures plus tard René Jeannier et son épouse qui resteront avec nous une dizaine de jours.
    Jeudi 1er Juillet, nous gravissons ensemble le Col d'Aspin et le Col d'Hourquette d'Ancizan où nous longeons le magnifique lac artificiel de Payolle .
    Vendredi 2 Juillet, nous partons encore ensemble vers le Col de Peyresourde que René veut effectuer et nous nous séparons à l'entrée de Bordères où je pars en direction du Col d'Azet.

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    Lors de cette ascension je rejoins un groupe de 4 filles et 4 garçons qui effectue la traversée des Pyrénées. Nous terminons ensemble ce col et je peux de ce fait leur faire une photo de groupe à la cime.
    Samedi 3 juillet, nous quittons Cadéac pour notre troisième point de chute le Laruns, en Pyrénées Atlantiques. Pendant le trajet nous nous arrêtons à Barèges et nous prenons le vélo pour gravir le Col du Tourmalet que j'effectue par la voie Laurent Fignon qui n'est autre que l'ancienne route du Tourmalet offrant un panorama plus beau que la route normale mais bien sûr avec un dénivelé et un pourcentage plus conséquent.

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    Au sommet, au bout d'un moment le brouillard arrive ainsi qu'une pluie fine et après avoir pris la photo nous redescendons tous les 2 très prudemment. A l'issue' direction Luz St Sauveur et pendant que nos femmes vont se restaurer nous grimpons tous les deux à Luz Ardiden vers midi et sous une bonne chaleur.

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    Ensuite après nous être rassasiés' direction notre camping où nous rejoignons nos mobil-homes respectifs.
    Lundi 5 juillet, je gravis seul le Col d'Aubisque suivit du Col du Soulor et de nouveau le Col d'Aubisque pour redescendre à Laruns avec un cyclo de la région prénommé André qui me dit avoir gravit le Col du Soulor de nombreuses fois et avec lequel je fais un selfie en haut du sommet.

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    Lors de cette sortie, je traverse sur une dizaine de kilomètres le magnifique cirque du Litor. Dans la montée de L'Aubisque, au retour, un arrêt devant le lieu et la plaque où Win Van Est chuta en 1951 étant porteur du maillot jaune. Il fut sauvé par des arbres qui se trouvaient en contrebas du ravin.

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    Mercredi 7 juillet, je gravis seul le Col du Pourtalet, à la frontière espagnole,

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    car René décide de partir plus tard. Cela me permet de descendre 5 kms du côté espagnol et de redescendre ensuite récupérer René avec qui je remonte à nouveau vers le Col où nous effectuons quelques photos.
    Jeudi 8 juillet, seul j'effectue le Col de Porteigt et le Col de Marie Blanque.

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    Et enfin, Vendredi 9 juillet, après un déplacement à Argeles Gazost, avec mon épouse, j'effectue dans la matinée mes deux dernières ascensions la Montée d'Hautacam

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    et le Col de Tramassel. Après un repas pris au restaurant au bord du Gave de Pau, l'après midi fut dédiée à la visite de Lourdes. Nous avons eu la chance d'avoir droit au passage de la patrouille de France au-dessus de la Basilique et à la rencontre du chanteur Vianney qui était aussi en visite sur ce site. Ce dernier super sympa fit un selfie avec mon épouse (neuvième groupe de photos).
    Sur ces 13 jours effectifs dans les Pyrénées, j'ai pu effectuer ce que j'avais prévu, c'est à dire 10 sorties, dont 3 avec  René, gravir 18 cols mythiques et cumuler 13 815 m de dénivelé en 499,61 kms.
    De ce séjour, je retiens des paysages magnifiques sur des routes très bien entretenues. A part la descente du Tourmalet vers Barèges que nous avons, René et moi-même, effectuée sous une pluie fine et dans le brouillard, le temps aura été vraiment idéal pour la pratique du vélo.
    Samedi 10 juillet, nous laissons René et Patricia à Laruns pour rentrer sur Sassenage, la tête plein de souvenirs.

    Toutes les photos sont ICI


    BERNARD


  •  Voyage dans les Pyrénées

    Les maillots de Sassenage à l’assaut des cols du tour de France. 

      Chapitre  II et Fin.

     

    Lundi  5 juillet

    Chacun a décidé de faire l'itinéraire de son choix. Je décide de faire les cols du Porteigt et  Marie-Blanque  une boucle dans la vallée d’Ossau.  Bernard, les cols de l’Aubisque et du Soulor en A/R sur le même trajet.

    Sur la carte routière la boucle fait approximativement 72 kms, j’ai l’intention de faire cette sortie en mode touriste. La météo est idéale, pas de vent, pas de brume,  grand soleil dès 6h45. L’approche de la montée vers ces deux cols  emprunte  une grande  ligne droite sur 12 kms, c’est la départementale 934  qui relie Oloron Ste Marie à Laruns.  A l’heure de mon départ il n’y a pas trop de circulation. Cette route est sécurisée par une voie d’arrêt où tous les cyclos l’empruntent  pour circuler en sécurité.  Je prends la direction de Bielle dernier village au départ de la montée vers les cols. Je remarque que toutes les ascensions vers les cols sont matérialisées  au départ de la montée par des panneaux  d'information qui indiquent  tous les kilomètres,  l’altitude et le pourcentage de la pente à chaque kilomètre.  Le premier panneau indicateur affiche Marie-Blanque 12 kms.

     

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    Dès le début  la pente  est raide et après quelques kilomètres elle devient plus douce  et régulière jusqu’à l’entrée d’une zone pastorale le Plateau de Bénou.

    Le panorama sur la montée est magnifique, je m’arrête et prends quelques photos, la Plaine de Bénou est grandiose

     

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    et matérialisée par un panneau randonneur col du Porteigt ; elle ressemble beaucoup à la plaine d’Herbouilly mais en format XXL. Les campings –caristes sont aux anges  dans ce cadre idyllique, quelques uns y ont passé la nuit. Seule une ferme équestre est installée sur la plaine de Bénou  proposant des balades à cheval. La traversée de la plaine est plate sur plusieurs kilomètres, puis dès la sortie de la zone pastorale la route vers Marie-Blanque  commence à monter à l’ombre en direction du col  traversant la forêt.  Pas de cyclos en vue depuis mon départ pendant l’ascension.  Au col,

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    j’arrive en même temps qu’un autre cyclo, lui venant du sens inverse par le village de Escot où la montée au col sur 10 kilomètres est la plus meurtrière avec du  14% régulier sur plusieurs kilomètres. On en profite pour échanger nos portables pour la photo souvenir devant le panneau du col.  J’apprends qu’il est parti de chez lui en Alsace pour 3 semaines de vélo soit 4250 kms, franchir 100 cols et 100 cotes. Il est en solo sans assistance avec pour simple bagage un grand sac étanche fixé à la selle arrière. Son objectif pour la journée est d’atteindre Sainte Marie de Campan et trouver un hébergement pour la nuit et le lendemain faire le col du Tourmalet et continuer son périple, quel courage, respect à lui. Il me montre sa feuille de route indiquant tout l’itinéraire qu’il doit faire pour valider son objectif et lui souhaite bonne route avant de nous quitter.  Je commence la longue descente vers Escot et je me rends compte que ce coté est bien pentu.  Arrivé à Escot  pour prendre la bonne route pour retourner au camp de base, je me rends compte que j’ai perdu une manchette du club que j’avais mal mis dans la poche arrière du maillot. Bon ce n’est pas grave, restera plus qu’à en commander une paire au club à mon retour à Sassenage.

    A l’approche de Laruns pour éviter au retour cette grande départementale où la circulation est devenue plus importante qu’au départ, je consulte ma carte routière et je vois une petite route parallèle qui me conduit au camping, je décide de la prendre. Après plusieurs kilomètres  j’entends une cyclote  me dire Isère 38 où vas-tu ? On tape la discute en roulant et me dit qu’elle connait bien Sassenage. Elle a de la famille sur Grenoble et me dit avoir fait une saison de monitrice de ski sur Lans en Vercors. Elle m’indique correctement l’itinéraire à emprunter pour rentrer au camping.

     

    Mercredi 7 juillet

    La veille au soir on décide de faire le col du Pourtalet  qui fait office de poste frontière France-Espagne.  Au petit matin. La météo décidera autrement pour l’horaire du départ. La temps n’est pas top,  du brouillard est accroché aux montagnes, la luminosité est sombre. Bernard décide de partir à l’heure que l’on avait fixée (7h30), moi  beaucoup plus méfiant je préfère décaler le départ  pour 8h00 selon l’évolution de la météo.  Je sors du camping la route du col est face à moi, le plafond est moins bas, un peu plus d’éclaircie un peu d’humidité,  tant qu’il ne pleut pas on  roule. Ca calme d’entrée, la distance pour relier au col fait 27 kms kilomètres d’ascension.

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    Finalement ça se fait bien car la pente n’est pas trop agressive. La route est encaissée dès le départ comme celle des Gorges de la Bourne puis  devient plus large là où se faufile la Gave.  Chacun roule de son coté sur la même route, malgré une météo pour les escargots et les limaces.  J’aperçois de beaux paysages,

    la  circulation devient plus importante  par la présence des voitures et motos,  normal je suis sur la route en direction de l’Espagne.  Des cyclos aucun mis à part moi et Bernard qui se trouve loin  devant à plusieurs kilomètres. Le temps passe et la montée est longue,  à 2 kms du sommet j’aperçois Bernard qui redescend dans ma direction et me dit dépêche toi  il y a du brouillard au col.

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    On terminera ensemble les 2 kilomètres pour la photo souvenir.

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      La descente du col  n’est que du plaisir vu que la plupart des ascensions dans les Pyrénées sont longues et comprises avec un  kilométrage moyen  entre 12 à 28 kms, on taille la route et c’est plus facile de descendre que de monter.   

    Vendredi 9 juillet

    6h45, je pars seul pour les cols d’Aubisque et du Soulor en A/R par le versant Ouest. Bernard part en voiture pour rejoindre Argeles-Gazost pour l’ascension de Hautacam et Tramassel demain c’est le départ pour lui. Le camp de base est bien situé car les cols sont à la sortie du camping. La montée fait 15 kms pour atteindre l’Aubisque traversant sur la route le seul  village de Gourette station de ski. La route est très ombragée j’allume ma frontale en mode flash pour être vu de loin des bourrins de boites à roues et des kékés de motards qui coupent leur trajectoire.  Pas beaucoup de cyclos sur cette route où alors je suis partis trop tôt, pourtant c’est un grand classique celui-ci. A l’approche du col, à la sortie de la station Gourette je me fais dépasser par un jeune cyclo.  J’apprends qu’il est saisonnier à Gourette et qu’il fait un essai avant son taf, avec le vélo qu’il vient d’acheter la veille un Cervélo.  Il est originaire de l’Ariège  et me demande si j’ai déjà roulé dans sa région. Quelques minutes de discutions avec lui sur le ressenti de son nouveau vélo et on profite d’échanger nos portables pour se prendre en photos en roulant ensemble.

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    Il me reste 1 km pour le sommet, le pourcentage affiché indique 7 %. Le col est splendide vue panoramique à 360°, météo au top, condition vélo nickel  cela va être une journée bien réussie.

    Nous sommes en zone pastorale, chevaux, moutons déboulent de tous les endroits,

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    la photo souvenir devant les grands vélos,

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    la borne kilométrique et le panneau officiel  sont une priorité. Le col du Soulor n’est pas bien loin à 7 kms  en parcourant  le cirque du Littor avec un faux plat montant.

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    Il est vite avalé puis je fais l’itinéraire en sens inverse. Le deal doit être respecté matinée vélo une fois sur deux et tourisme pendant les vacances, y’a pas que le vélo dans la vie.

    Dimanche 11 juillet

    La météo est top, tempête de soleil dans les Pyrénées, profitons car les jours prochains la météo annoncée n’est plus la même. Direction Hautacam et finir sur le col le Tramassel.  Ensuite la montée du col du Soulor et Aubisque par le versant Est.  Le vélo et picnic chargés dans la voiture et direction Argeles-Gazost  à 1 heure de route.

    Mon assistante gare la voiture sur le parking principal de la ville. Un Argelésien m’indique la direction au plus court pour rejoindre la montée d’Hautacam.  Il sourit  me souhaite bon courage et me dit:<< tu vas en chi…..   sa devrait le faire, tu es affuté.>>

    Aux pieds de la montée, la partition musicale est donnée 13kms de montée pente moyenne 9 %

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    et par endroit au 8ème kilomètre pente à 11%. Je ne suis pas tout seul comme cyclo dans la montée. Un groupe de locaux me dépasse et me dit:<< bienvenue Isère 38 connais-tu Hautacam ?,>>  le plus dur n’a pas encore commencé. Heureusement que la cassette arrière comprend un pignon de 34 ça fait moins mal aux jambes,  on y pense pas et  la vue  sur la vallée est ouf de ouf.  J’approche du sommet j’en suis pas loin et j’aperçois le panneau Hautacam.  Je m’arrête au niveau du panneau et discute avec d’autres cyclos, les portables crépitent dans tous les sens pour les photos.

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    Un cyclo m’indique la direction pour finir le col à 1k500 le Tramassel qui  termine sur un parking.

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    Ce n’est pas tout mais il reste des bornes à faire. Retour à la voiture, on définit un lieu de piquenique qui sera le Pont d’Espagne puis direction Arrens pour la grimpette du Soulor et Aubisque par le versant Est puis retour direct au camping à Laruns. Mon assistante me dépose, elle m’attendra en haut du col. La montée par le versant Est,  est en plein soleil il est 14h45 ça cogne un peu, même beaucoup et il faudra faire les 8 kms avec une pente moyenne de 8% sans un point d’ombre.

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    Finalement on ne sera que 2 fous à la montée sous la chaleur. Au col les moutons n’en peuvent plus et cherchent de l’ombre à l’abri des voitures des touristes.  Au Soulor ravitaillement en eau puis direction sur la route du cirque du Littor pour le col d’Aubisque avec un petit arrêt vite fait bien fait puis restera à enquiller la descente jusqu’au camping. Mon assistante me laisse passer devant  pour les 7 kms à parcourir jusqu’au col d’Aubisque. Toujours aussi blindé de monde à l’Aubisque j’emprunte la longue descente pour le retour au camping.

    Jeudi 15 juillet

    Enfin après 48 h00 de pluie jour et nuit sans interruption,

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    je croyais que j’allais devenir fou, enfermé dans le mobile-home. Ce qui me console, c'est que je regarde la météo sur Sassenage et elle n’est pas meilleure. La météo  n’est pas très engageante mais on peut sortir le vélo,  peut-être avec un peu de chance le soleil va se montrer du bon côté. Sur  ma la liste il me reste les cols du Spandelles et Somport.  Je garde le Somport pour vendredi où la météo annonce une journée très ensoleillée. Il est 6h30 je pars quand même pour un A/R sur le même itinéraire environ 75 kms. L’approche est assez roulante quelques bosses, traversée de plusieurs villages. Sur le bord de la route je rencontre  Kikou le renard qui s’est fait buter pour un fromage. Dommage que je ne suis pas en voiture sinon je l’aurai récupéré pour en faire un chapeau de David Crocket.  Ce col n’est pas  un mythique pour le passage  du tour de France mais sur le forum cols-cyclisme il est classé comme un col à faire avec de bons passages raides et un beau panorama au sommet. A quelques kilomètres du départ de l’ascension la météo devient très menaçante, le brouillard accroché à mi hauteur, le temps s’assombrit,  rien  ne laisse préjuger de bon.  Pas la peine de prendre des risques sur les hauteurs  et peur de me faire manger par un ours je déclare forfait et  rebrousse chemin pour éviter la pluie.    

    Vendredi 16 juillet

     Dernier col et cela sera suffisant,  du jour au lendemain y’a pas photo du coté météo. L’approche du col est un peu éloigné du camp de base et beaucoup conseille de faire une approche en voiture jusqu’à Accous et il restera 28 kilomètres pour atteindre le sommet. Il est situé dans la vallée d’Aspe.

     Mon assistante est de la partie et me dépose à l’endroit définit. La route du col est très roulante, belle et bien large et l’on traverse de beaux paysages avec vue sur les sommets.

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    Le seul inconvénient il s’agit d’un axe routier en direction de l’Espagne, je ne compte pas le nombre de camions dans les deux sens. Une piste cyclable est présente tout le long,  un peu rétrécie par endroit mais protectrice, il suffit de bien rester le plus à droite sur la piste cyclable. La montée est longue

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     pas très difficile, le plus dur est à faire juste avant le tunnel du Somport. Je tourne à ma tête à gauche et j’aperçois une départementale qui monte, un panneau indicateur Somport station 8 kms pourcentage 8%. Non ça suffit!!! En face, si je prends le tunnel j’y arrive aussi, l’entrée est devant moi à 1 km.     

    Devant le tunnel je me fais interpeller par un garde Espagnol et me fait comprendre  « bicyclette interdit » me fait signe de la main demi-tour en haut par la station col Somport poste frontière.

    Bon y’a plus cas, demi-tour et je m’engage à droite sur la montée,  je ne peux  faire autrement mon assistante est déjà au col et m’attends pour le piquenique. La montée à la station est difficile les 8 kilomètres ne présentent pas de replat pour souffler, le pourcentage ne faiblit pas. Je monte cool, je croise qu’un seul  cyclo dans le sens de la descente et  quelques voitures mais sans plus. Le sommet est en vue et j’aperçois mon assistante qui m’attend pour la photo sur le dernier col.

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    Voila le périple Pyrénéen est terminé bien content de l’avoir fait, un grand merci à mon assistante pour certaines approches en voiture pour permettre les ascensions. Il avait été programmé il y a  2 ans mais la covid est passée par là. Je l’ai fais sans esprit de challenge ou de compétition ni de top départ chrono ou de moyenne. Seulement le plaisir de faire du vélo à son rythme et découvrir des paysages fabuleux.  14 cols sont passés sous les roues de mon vélo, 504,33 kilomètres et 13 776 m de dénivelé.  Un projet  à la portée de tous avec un peu de préparation. Les couleurs du club ont été portées aux sommets des cols pyrénéens, de belles  rencontres  avec d’autres cyclistes  qui maintenant connaissance l’existence de l’USSCT.

    Pour visualiser l'ensemble des photos, cliquez ICI 

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    René

      


  •                                                           Voyage dans les Pyrénées 2021

                          Les maillots de Sassenage à l’assaut des cols du Tour de France

                                                                     Chapitre      I

    Mercredi 30 juin: départ à 6 h00 de Sassenage pour le premier camp de base situé à Arreau où j’ai programmé les cols d’Aspin – Hourquette d’Ancizan – et  Peyressourde.  Je vais rejoindre Martine et Bernard G qui sont déjà sur place. Le col d’Azet  sera  un surplus.

    Samedi  7 juillet: départ pour le deuxième camp de base situé à Laruns pour les cols de Hautacam –Tramassel –Tourmalet –Aubisque –Soulor – Porteigt – Marie Blanque- Pourtalet – Spandelles – Somport.

    Le col Luz Ardiden  sera ajouté à la liste des cols.

    Pendant les préparatifs au projet,  j’ai mis dans la confidence Bernard G il me confirme ultérieurement qu’ils nous accompagneront pendant une douzaine de jours mais en départ décalé voulant faire d’autres cols sur un autre endroit et être de retour pour le 10 juillet.

    Jeudi 1 er juillet: Nous partons, il est 7h15 pour l’ascension des cols d’Aspin  col classé en 1 er catégorie et Hourquette d’Anzican. Nous laissons nos dames prendre tranquillement leur petit déjeuner. Aux pieds de la montée le panneau affiche : distance 13 km avec une pente moyenne de 9,5%. Le revêtement est au top jusqu’au col, de beaux panoramas s’offrent à nous et chacun monte les nombreux lacets à son rythme et à distance. Un passage canadien nous avertit que nous entrons dans une zone pastorale où des bovins nous accueillent.

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    Nous sommes les premiers cyclos à franchir le col.

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    On entame la descente du col en direction de Payolle pour Hourquette d’Ancizan  à la recherche d’un autre col celui de Beyrede. 2  tentatives infructueuses sur route forestière nous obligent à faire demi-tour. On commence à voir quelques cyclos sur la route du  col Hourquette d’Ancizan  où le panneau  du col est situé à 10 kms nous attend pour la photo officielle. Bernard G prend ses ailes et son rythme,

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    quand à moi je monte cool car avant tout c’est aussi des vacances et des photos s’imposent dans un cadre aussi magique. La route d’Hourquette d’Ancizan est moins agréable,  granuleuse et plus exposée à l’ensoleillement. En haut du col on tape la discute avec un cyclo venu s’entrainer pour une épreuve sportive. On entame la descente et on se rend vite compte que la route vient d’être gravillonnée, l’empressement est vite revenu à la sagesse pour rentrer au gite en sécurité.

    Vendredi 2 juillet: 6h50 Bernard et moi prenons la route en direction du col de Peyresourde.

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    Bernard m’accompagne quelques kilomètres,  il prendra la route du col  d’Azet . Il a  déjà gravit le col de Peyresourde   les jours précédents par Bagnères de Luchon.  Apres notre séparation je suis rejoins par un autre Bernard mais du Gers, nous ferons ensemble l’ascension du col  tout en en discutant, la montée est régulière, progressive  sur une distance de 14 kms. Nous  décidons  une fois arrivés au sommet 

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     de faire une boucle par le col d’Azet  en revenant sur nos pas car lui aussi est en villégiature sur Arreau.  Au sommet nous rencontrons un couple d’allemands  qui souhaite une photo, nous leur prêtons nos vélos pour la photo à la borne kilométrique, puis faisons de même. Demi-tour puis descente jusqu’à Etrevielle et  direction Genos  où nous sommes au pied du col d’Azet

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    . La chaleur commence à se faire sentir, pas un point d’ombre et pour saper le moral le panneau nous indique col à 7,5 kms  pente à 12% sur 1 km. La montée se fait comme elle vient à son rythme sous la chaleur. Pas un mot sort de la bouche mais on en pense pas moins. La cadence de pédalage est cool les bidons d’eau se vident rapidement. Au sommet

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    nous ne sommes pas seuls, d’autres ont fait l’ascension par Saint Lary de Soulan, les paysages sur les deux versants sont splendides, quelques photos et une longue descente nous attend pour retourner sur Arreau.

    Samedi 3 juillet : Départ pour le deuxième camp de base pour Laruns il est 7h30. Nos voitures sont chargées comme des mules. La météo n’est pas engageante, on s’en fiche nous sommes en voiture. Nous décidons de passer par le col du Tourmalet peut-être que sur l’autre versant il fait beau. Arrivés au sommet du col on s’arrête vite fait  pour faire une photo avec nos assistantes, les polaires sont de rigueur et nous sommes au mois de juillet il fait à peine 15°. Nous descendons sur Barèges les quelques kilomètres font apparaitre une fenêtre météo plus favorable. J’appelle Martine G et lui demande de s’arrêter au prochain parking afin de décider si on fait l’ascension du col du Tourmalet.

     

    La décision est prise, on déballe les affaires  on prend la direction du col, rien nous presse l’hébergement n’est disponible qu’à partir de 16h30. Chacun monte à son rythme depuis Barèges le sommet du col est à 11 kms et le premier panneau annonce une pente moyenne à 9 %. La route du col est la Mecque du vélo, il y en a de partout à la montée, à la descente en solo, en groupe et de toutes nationalités.  A mi parcours  si on s’ennuie on a de la lecture au sol tous les 10m. Bernard je ne l’aperçois plus  et j’apprends  ultérieurement qu’il a pris la voie Fignon (route barrée) je l’avais vu sur la carte routière mais vu le panneau route barrée j’ai continué sur l’axe principal. Le temps commence à se gâter, une pluie fine caresse mes épaules, le brouillard commence à tomber. La visibilité est presque nulle, j’allume ma frontale en mode flash les voitures roulent au pas, la route est glissante avec les excréments de mouton, bovin, chèvre, nous sommes dans une zone pastorale à l’approche du col, toujours être à l’affut avec ces bestiaux qui déambulent de partout. Il me reste 1 km jusqu’au col.  Bernard déjà au col vient à ma hauteur et fait le dernier kilomètre avec moi, il fait froid.  On fait rapidement un selfie  sous le panneau col du Tourmalet pour immortaliser l’ascension

    210630_Rando Pyrénéenne

     Vêtements de pluie sur le dos et avec prudence  on entame la descente. Bernard devient le spécialiste de l’évitement des cailloux sur la chaussée, la pluie fine continue et on n’y voit pas grand-chose, un accident s’est produit en sens inverse. On aperçoit l'ambulance des Pompiers  avec  gyrophare allumé et sa sirène tonitruante,  , la gendarmerie et un véhicule médecin.  De retour sur le parking de Barèges le soleil devient plus présent ,  le brouillard reste accroché au sommet du Tourmalet comme une malédiction.

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    Tant qu’à faire, Luz Ardiden n’est pas très loin. On remballe les affaires et les dames reprennent le volant pour déplacer  les voitures jusqu’à Luz Saint Sauveur. Il n’est pas loin de midi, la météo est favorable on  en profite pour faire l’ascension du col de Luz Ardiden. Nos assistantes recherchent un endroit pour se restaurer . Bernard demande la direction de Luz Ardiden à une commerçante  puis on prend la bonne direction à la sortie de la ville pour 13 kms d’ascension. Cette année Luz Ardiden est une arrivée d’étape du tour de France,  la route du col a été refaite, une autoroute et pas un seul  défaut. Pas beaucoup de cyclos,  de mémoire aucun dans la montée avec vue dégagée sur la ville, la météo tient ses promesses le soleil persiste, je termine les derniers lacets.  A 2 kms du sommet une erreur d’orientation m’engage sur un parking sans âme qui vive. Un coup de phone à Bernard qui est déjà au col et m’indique qu’il faut revenir sur ses pas et prendre la première à droite. Le sommet est à  1 km,  Bernard lui aussi à fait la même erreur que moi. Sous le panneau officiel de Luz Ardiden nous faisons la photo souvenir.

    Maintenant reste plus qu’à redescendre jusqu’aux voitures et reprendre la route jusqu’à Laruns.

    210630_Rando Pyrénéenne

     

    Pour visualiser toutes les photos cliquez ICI 

    René

     


  • Sortie du samedi 26 juin 2021

     

    Compte-rendu sortie dit "Tour du Vercors"Comme chaque année, la sortie du Tour du Vercors est lancée pour ce samedi 26/06/2021. Au départ à 5H30,

    210626_TourDuVercors

    pour la deuxième semaine d'affilée (pas encore habitué de partir si tôt), le groupe composé de Dom, Pascal L., Pascal M., Santo et moi-même se retrouve pour commencer par une approche tranquille

    210626_TourDuVercors

    jusqu'à Vif sous une petite fraicheur matinale par Genevray, puis un petit détour par Saint-Martin de Cluze puis le Collet de Sinard. Petite pause pour remplir les bidons avant de descendre vers Monestier de Clermont et remonter au col de Fau. Pour éviter de prendre la grande route départementale, nous descendons jusqu'au pont de Brion puis remontons jusqu'à Clelles pour traverser la grande route.

    210626_TourDuVercors

    Commence alors l'approche et l'ascension du col de Menée,

    210626_TourDuVercors

    chacun montant à son rythme avec deux duos et un homme intercalé: Pascal M. et Dom devant suivi de Pascal L. puis Santo et moi-même. Arrivée au sommet, petite pause prolongée avec une crevaison pour Dom.Commence alors la grande descente vers Chatillon en Diois qui permet d'observer un paysage et   une végétation très différents, puis nous filons à vive allure vers Die, où nous prenons la pause déjeuner avec de bons sandwichs.

    210626_TourDuVercors

     

    Nous poursuivons par l'ascension du col du Rousset, pas très difficile en pourcentage rarement supérieur à 5% mais très long, 20 km. Personnellement, je me suis mis dans un rythme me permettant de ne pas piocher dans mes forces.

    Comme précédemment, Pascal M. et Dom font la course en tête suivi de Pascal L., suivi pas mal de minutes après par moi-même, puis Santo. Petite pause et quelques étirements au sommet toujours aussi beau avec cette vue dégagée et les lacets, nous passons le tunnel pour prendre de l'eau dans la station du Rousset.

    Puis avant d'atteindre la dernière difficulté du jour, nous faisons une descente et une approche de Saint-Martin en Vercors à bonne allure. Maintenant reste à escalader le col d'Herbouilly avec ses premiers kilomètres pentus. Personnellement, j'ai vraiment eu beaucoup de difficulté pour monter avec des douleurs aux voutes plantaires, atténuées après le dessérrage des chaussures. Au sommet, bonne pause pour tout le monde excepté pour Pascal M. qui avait encore de l'énergie pour descendre puis de remonter et nous retrouver.

    Dans la descente, nous avons eu la bonne surprise de croiser Antonio, petite pause papotage avant de reprendre la route avec un petit détour par la descente du chemin des Olivets permettant d'accéder au point d'eau Les Jarrands.

    Puis le groupe file vers Lans en Vercors pour effectuer une pause en terrasse afin de déguster une bonne bière. Merci Pascal M. et Dom pour ces rafraichissements. Le tour se termine par la descente jusqu'à Sassenage où on se sépare petit à petit en fonction des différents points de chute.

    Finalement un parcours de 215 km avec un peu plus de 3400 m de dénivelé sous une température plutôt correcte pour la pratique du vélo. Merci au groupe pour ce joli tour, maintenant, reste à récupérer avant les nouveaux défis de la semaine prochaine.

    Texte: Francis

    Photos: Santo

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


  • Bonjour,

    Je rejoins le club au local pour une sortie cool. Sont présents Patricia, Laurent, Mario et Vito. Tiens, Philippe est venu nous faire un petit coucou avec son appareil photo.

    210620_Laffrey

    Nous partons vers la passerelle du Rondeau pour retrouver Luc. Une fois le groupe au complet, nous partons vers Sechilienne pour monter à Laffrey. Cette route est de manière générale ombragée donc recherchée par ces temps de chaleur.

    210620_Laffrey

    La montée est régulière et se passe bien. Une fois à Laffrey, nous allons vers Cholonge et Villard Saint Christophe pour récupérer Pierre Chatel où nous marquons un ravito à la boulangerie des Lacs.

    210620_Laffrey

    Nous prenons des viennoiseries et des boissons puis nous repartons vers La Motte d’Aveillans et Notre Dame de Vaulx. Nous allons ensuite au Majeuil et nous profitons de la vue du Lac de Monteynard. Après une descente rapide, nous terminons notre parcours par Vif et nous marquons un arrêt chez Luc qui nous a offert des rafraichissements.

    210620_Laffrey

    Nous repartons à 5 sur la piste. Je quitte le groupe à Comboire. Au final, une très belle sortie de 105km et 1100m de dénivelé.

    Raphaël

     

    Toutes les photos, c'est ICI


  • Sortie club du samedi 24 avril 2021.

    Une petite information concernant notre groupe.

    Nous partons actuellement à neuf heures afin de rester dans le cercle des 10 kilomètres à vol d'oiseau tout en faisant une boucle, donc nous ne dépassons pas les soixante dix kilomètres au compteur.

    Mais, dès lundi 3 mai comme l'indique le blog du club (http://cycloclubsassenage.eklablog.com/)ce sera départ 8h30 Parking du stade "Vieux Melchior" et en utilisant le forum de discussion "qui veut sortir" pour nous retrouver.

    Aujourd'hui belle journée printanière et de belles rencontres.

    Nous étions cinq sociétaires: Eric, Aldo, Vito, Jean Marie et ma pomme .

    Petit échauffement sur la piste avant d'attaquer la montée d'Engins où nous avons rencontré Francis qui était avec le 1er groupe mais a du faire demi-tour: problème d'ischio-jambiers.

    Nous continuons notre route pour bifurquer sur le chemin des Fusillés devant "La magie des automates" puis la route des 4 montagnes et enfin, celle de St Nizier du Moucherotte.

    Un arrêt s'impose à St Nizier pour remplir les bidons.

    A ce moment là arrive le 1er groupe et s'arrête (Santo, Pascal Levasseur, Pascal Martin, Dominique, et Louis Eric?? )pour nous saluer. Très sympa de leur part.

    Pendant notre arrêt Tonton Pascal et Raphaêl nous ont rejoint. Belle surprise.... Pascal a un nouveau vélo. Un Pinarello, belle machine. Ainsi Pascal devrait avaler les kilomètres sur une bête de course et si tout se passe bien siôt la réouverture des bars il devrait l'arroser comme le veut la tradition ;-)

    Nous voilà dans la descente de St Nizier du Moucherotte où nous avons aperçu Jean Paul qui montait.

    Direction chemin de la Lune où Jean-Marie nous a laissé et nous avons continué sur la grimpée de Cossey, Claix et retour par la piste.

    Belle sortie et désolée pas de photos . Oupsss philippe en a récupéré une sur Strava

    PATRICIA

     

     

     

     


  • Sotie du samedi 3 avril 2021

    Arrivé à Sassenage rendez vous salle du club un peu avant l'heure (~8h30),

    pour cette sortie du 3 avril spéciale dernière sortie avant le confinement du mois d'avril 2021.


    Les groupes sont bien formés pour respecter au maximum le protocole sanitaire.


    Chacun y va avec son hypothèse: comme les corniches du DRAC trop long et trop de denivellé pour ce début saison, => abandonné pour ce jour, col de l'Arzelier, col des deux, etc.
    et là j'entends Sandrine et Françoise vouloir faire la sortie aiguebelette. Bingo!! pour être honnête cela fait 2 ans que personnellement, je loupe à chaque fois les sorties avec ce parcours.
    Je persuade le groupe de plutôt faire cette sortie même si Santo et Dom l'ont déjà faite 5 jours avant (Lundi).
    Apres remise des maillots club, nous partons sur ce parcours à 6+1: Santo, Dominique Jocelyn, Emilie, Sebastien, Isa et moi.

    Nous roulons à allure tres raisonnable sur la piste cyclable vu le vent de face. (et la taille de la sortie).
    Nous croisons Véronique qui attend le groupe de Bernard, Francoise Sandrine Jean Paul au pont barrage de saint Egreve.
    Nous ménageons nos montures et rattrapons au niveau de la montée de Coublevie le groupe partant pour la sortie originale de Saint Geoirs mille Martyrs...
    Nous continuons tranquillement par le Crosset. avec quelques attaques successives de Santo , Dom sur Sébastien bon enfants mais il reste devant (on l'aura un jour ;-))
    Nous faisons une pause regroupement en haut du pont de pierre chave.
    Et là une rencontre d'un bouc qui est venu nous signaler que le terrain est sa propriété. personne n'a essayé de rentrer pour le caresser..


    nous repartons encore en roulant au train en groupe.
    arrivé au col avant de redescendre sur le lac aiguebelette. nous croisons à nouveau une bête d'exception un "Taureau" à mamelles un sacre morceau tout de même (n'est ce pas Sébastien :-) .


    Nous nous couvrons avec ce que nous avons : coupe vent, mitaines cuissard court pour la majorité. nous commençons la descente le maitre mot FROID les GPS indiquent 3°C...
    arrivés en bas pour notre sortie (Emilie et moi) notre première, les membres du groupe décident de faire le tour du lac.
    la partie ouest se fait sans grande vue. A partir du nord du lac une vue extraordinaire s'affiche à nous et pour tout le reste du tour. Trop beau.


    Une hésitation frôle l'esprit du groupe de faire un deuxième tour à Lepin. mais certains membres ont des obligations.
    Nous commençons notre remontée à bon rythme en 3 mini groupes Seb+ Dom, et Jocelyn et moi qui n'arrêtons pas de se taquiner pancarte (plan Rosset, Michalière) haut de la bosse etc. Jocelyn ce n'est que partie remise. puis Santo, Isa et Emilie mais à la descente j'ai un avantage certain (plus de poids!).
    Dans l'histoire Emilie s'est finalement fait distancer mais nous l'attendons répondons à son appel tel et revenons vers elle alors qu'elle n'etait pas à plus de 500m...


    nous descendons sur Les Echelles, jusqu'à Villette.
    Nous avançons encore au train jusqu'à "petite montée de cette petite route au dessus de Saint Laurent du pont. Cette fois ci je suis parti de plus loin et Jocelyn n'a pas réussi à me reprendre. Mais Sebastien arrivé en haut en premier a aperçu le groupe de Françoise qui repartait (2ieme groupe USSCT faisant la sortie aiguebelette.
    Nous nous regroupons et partons "en chasse du groupe 2.
    encore une fois Dom et Sebastien partent devant et arrivent devant tout le monde au col de la placette. Jocelyn et moi fondons à notre tour sur le groupe USSCT. et pour une question de convivialité nous restons à la hauteur de Veronique et Jean Paul.
    Les 2 groupes se regroupent (tout en gardant presque 10m entre nous et chacun partent en sequencé pour la descente de Voreppe.
    A Voreppe pause technique.
    Arrivée sur la digue une nouvelle surprise un peu stressante (à mon gout) 7 marcassins de 2 ou 3 mois nous accompagnent sur presque 50m . Nous n'avons pas vu la mère sanglier...


    Arrivée à Noyarey pause pour se séparer de Dom et Jocelyn.
    Arrivé au pont barrage nouvelle pause pour me séparer du groupe mais egalement retrouver le groupe "2" Veronique garé au parking relais.
    Pour ma part une dernière acceleration vent dans le dos à 40km/h sur la digue jusqu'à Saint Egreve.
    (désolé je ne sais pas vraiment rentrer cool). Apres-midi chargée : rdv pour dépos roues chez alpinwheels (merci JP) pour entretien rayonnage.
    Encore une super sortie Merci à toutes et à tous.


    Louis-Eric et tout le groupe

    Pour visualiser l'ensembles des photos, cliquez ICI


  • Sortie Club samedi 3/04/2021

     

     

    Avant la restriction sanitaire et son rayon de 10 kms autorisés, nous étions nombreux ce matin à 8H30 au Parking Vieux Melchior.

    Les groupes se forment et se concertent.

    Me voilà en route avec Vito, Aldo, Laurent, Luc, Michel et Jeannot et Patou.

    Nous décidons de partir sur le parcours initialement prévu par le Club.

    Direction La Buisse, La Croix Bayard, St Etienne de Crossey, St Aupre (découverte pour moi d’une nouvelle route pour arriver au village de St Aupre) puis Miribel les Echelles, Col des 1000 Martyrs. (5°au sommet).

    210403_1000marthyrs

     

     

    Nous décidons de ne pas aller sur St Geoirs en Valdaine mais de redescendre sur St Sixte, St Etienne de Crossey, Coublevie, le Trincon , St Jean de Moirans puis piste cyclable jusqu’à Sassenage.

    210403_1000marthyrs

    Belle sortie, bonne ambiance avec de supers copains.

    Vivement Septembre, car il manque la bière pour clôturer les sorties.

    Bonne fête de Pâques et bonne journée pascale.

    210403_1000marthyrs

     

    Patricia

     


  • SORTIE CLUB 20/03/2021
     

    Rendez-vous parking Vieux Melchior. Beaucoup de cyclos au départ de 9h00. Super Club !!! 

    Les groupes se forment afin de respecter les règles sanitaires « éviter l’amende individuelle et l’amende Club »

    Nous partons pour le parcours club.

    Il y a Claude, Vito, Jean Marie et moi-même. Il fait un vent glacial.

    Direction St Quentin où nous avons croisé Francis qui était sur le retour « problème de genoux ». et nous attendons à St Quentin le groupe Mario, Jean Paul, Eric etc… mais il faisait tellement froid que nous prenons la décision d’appeler Mario à St Gervais.

    Avant d’arriver à St Gervais, nous croisons le groupe de Véronique qui se trouve à l’arrêt.

    Nous nous arrêtons. Pas de crevaison mais le dérailleur ou la chaine de vélo de Corinne s’est cassé. Gros problème. Pour connaître le dénouement de cet incident il va falloir attendre un compte rendu de ce Groupe. A vos crayons  !!!!

    A St Gervais, Claude a appelé Mario qui lui confirme que leur parcours n’est pas le même.

    Nous continuons donc notre route vers Vinay , St Nerpol, Col de Toutes Aures , vent froid et glacial.
    La Forteresse , Col Chatain 

     

     

    où nous récupérons Christophe que nous laissons à la sortie de Moirans.

    Belle sortie,  «montre polar 92 kms 812 D+ »

    Merci à vous trois pour ce parcours.


    Patricia


  • Sortie du samedi 20/03/21

    Bizarre les seniors ne sont pas au rdv, je rejoins donc le vrai lieu de départ.
    Plus d'une vingtaine de sociétaires sont sur place.

    Problème de freinage sur le vélo à Iza, Sébastien tente de résoudre le problème. Jean Paul m'invite à rouler avec lui. Marie Paule reprend également progressivement le vélo. Cà me va bien. Le groupe sera constitué ainsi: André S, Eric P, Mario C, JPB, Marie Paule et moi même donc conforme aux règles sanitaires.
    Pétard!!! qu'est ce qu'il fait froid, j'en ai mal au crâne.
    Nous sortons à Centralp et premier arrêt d'un sociétaire du groupe des "prostates défaillantes" en la personne de Eric P. Rires.....
    JPB a eu une bonne idée que de nous éloigner de l'isère, et effet immédiat 2/3° de +.
    Traversée de la Z.I. et nous traversons Moirans puis direction St Jean de Chépy. Selon Mario, le froid comprimant sa prostate miction  miction oblige. rires....
    Peu après C'est au tour de JPB; Certes, je ne vais pas nommer tous les arrêts mais comprenez qu'une bassine aurait été remplie.
    Mario assigne à Eric le rôle de capitaine de route . Rires.....
    Tullins, Marie Paule se sent bien et il est décidé de poursuivre jusqu'au centre équestre de la Parisette et prendre ensuite à gauche. Le Neme, arrêt au sommet du coup de cul et photo. Je pensai pouvoir les prendre un à un mais mes doigts étaient tellement engourdis que je ne suis pas arrivé à déverouiller rapidement mon smartphone.

    210321_LaPlaine

     

    210321_LaPlaine


    Les Massons et direction la piste. Et là...... dois je l'écrire?? un nouvel arrêt P--i
    JPB, Mario et Eric se défoule un peu avec un tempo plus élevé, avec Marie paule et André nous ménageons nos montures car selon Racine: <<il faut garder des forces ou des réserves si on veut atteindre des objectifs élevés ou lointains.>> en d'autres termes "qui veut voyager loin ménage sa monture" . Rires????

    Pp





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